Les Bodin's et le Covid
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Les perles de la sécurité sociale
10.Je croyais que j'ai le droit de toucher pour le travail de mon cubain.
11.Quand mon petit a eu deux ans, la caisse m'en a coupé la moitié.
12.Mon mari est pour le moment décédé.
13.Habitant sur un derrière et ne m'y trouvant pas bien, je voudrais obtenir un prêt pour améliorer mon habitat.
14.Je ne possède que quelques pieds de vigne que mon fils fait marcher.
15.N'étant pas chômeur secouru, je me suis mis à ramasser un peu de tôle pour faire manger mes petits.
16.Faites des efforts, mon enfant va naître.
17.Je voudrais mon argent aussitôt que vous pourrez me l'envoyer.
18.J'ai été au lit avec le docteur pendant une semaine, et il me semble m'avoir fait aucun bien. Il faudra que je me procure un autre docteur.
19.Selon vos instructions, j'ai donné le jour à deux jumeaux dans une enveloppe ci-jointe.
20.Le bébé a besoin de lait et le père ne peut lui en donner.
21.Vous avez changé mon petit garçon en petite fille. Est-ce que cela fait une différence ?
22.En réponse à votre requête, les dents du devant vont très bien, mais les dents de mon derrière me font très mal.
23.Ma femme est enceinte, je vous envoie mes petites affaires dans ce papier.
24.Suite au passage du contrôleur, veuillez m'envoyer un carnet de maternité.
25.Au guichet on m'a fait attendre une heure toute seule en file indienne.
26.Mes dents sont tellement mauvaises que je peux mâcher que du potage.
27.On a coupé les bourses de mon fils, il ne va plus en classe.
28.Comme mon pauvre mari doit partir chez les fous, je l'envoie à votre bureau.
29.Veuillez me faire connaître la marche à suivre pour une naissance.
30.Je suis restée malade à cheval sur deux mois.
31.J'espère que vous aurez pitié d'un pauvre homme qui a sept enfants à géré ainsi que sa femme et sa belle mère.
32.Je suis devenue veuve après le décès de mon mari.
33.Je suis enceinte de cinq mois et je n'ai rien fait.
34.Ma rue a changé d'adresse.
35.Mon mari souffre d'un abcès sédentaire.
36.Orphelin à treize ans, j'ai vécu de droite à gauche mais toujours dans le droit chemin.
37.Mon mari est en créventorium, on lui a fait un plumeau au thorax.
38.Mon mari est mort depuis deux mois, que dois-je faire pour le sortir de la caisse ?
39.Depuis que le médecin a dit à mon mari de prendre la courtisane, il va mieux.
40.J'ai nourri mon enfant au sein sans arriver à joindre les deux bouts.
41.J'ai été victime d'un accident de la route provoqué par un chien en vélo.
42.Fille mère, je me suis marié après coup.
43.Je me suis fait soigner avec les feuilles de maladie.
44.Je vis avec une tierce personne.
45.Mon enfant n'a pas une bonne glande tyrolienne.
46.L'accouchement était particulièrement difficile, il a fallu frayer un passage au chasse neige.
47.J'ai mal à la tête et on m'a fait une césarienne.
48.Depuis que mon mari est mort, il n'y a plus d bête à cornes à la maison.
49.Je suis catholique pratiquante, pouvez-vous me dire si les pilules Carter pour le Foi sont remboursées.
Les perles de la gendarmerie et de la police
Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent...
Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris â la conductrice...
Après identification, le corps fut rendu â sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace.
Arrête par les gendarmes, le voleur les a menacé d'appeler la police.
Assis dans sa voiture l'homme faisait mine d'attendre l'autobus.
Aucun dégât n'est â déplorer â l'exception de la seule et unique victime
Avec un taux d'alcool de 3,2g, le sang de l'homme était comme une bouteille.
Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir...
Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
Bien que nous étions 5 à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.
C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.
C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions.
C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux.
C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.
C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.
Cinq des trois suspects ont été relâchés...
Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.
Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violences sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant...
Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...
De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.
Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement verrouillées.
Dés que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.
Elle prétendait être encore vierge mais son casier judiciaire disait le contraire puisqu'elle prostituait.
En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.
Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière...
Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari...
Grièvement blessé, la vitrine s'effondra en morceaux...
Il avait le tort de n'être pas de nationalité française...
Il est a noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
Il est probable que la suicidée a été lâchement assassinée
Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.
Il habitait en chair et en os à son domicile.
Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.
Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.
Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on l'interrogeait...
Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics", ignorant que nous étions des gendarmes.
J'ai entendu un coup de feu et j'ai vu un type qui sortait comme une balle...
Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.
La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul.
La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
La femme a vraisemblablement été étranglée par son assassin...
La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre un nom sur son visage
La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes...
La gendarmerie étant fermée le dimanche, le meurtrier dut attendre le lundi pour venir tout avouer.
La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui.
La mer était sa terre natale...
La neige s'était mise à tomber pour essayer de cacher l'objet du délit.
La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires.
La pièce d'identité présentée par l'homme prouvait sans aucun doute qu'il était coupable.
La S.D.F. fut incapable de nous donner une adresse valable.
L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.
L'assassinat avait donc bien le crime pour seule et unique raison
Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
Le cambrioleur portait sur son visage sournois les traces de sa culpabilité.
Le camion que nous avons inspecté transportait 30 porcs munis de leurs femmes.
Le complice des deux voleurs était sans doute le troisième...
Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir.
Le corps fut retrouvé dans le congélateur encore chaud.
Le coupable proclamait son innocence que comme tous les menteurs du monde.
Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.
Le fusil à pompe était muni de quatre pneus lisses...
Le grave préjudice subi par le conducteur avait été estimé à : 0 Franc.
Le logement de fonction du gendarme était trop exigu pour être habité...
Le manouche habitait une caravane tirée par sa femme...
Le mari semblait plus honnête de 50% que sa femme...
Le marteau utilisé était en bois sauf qu'il était en fer.
Le militaire appréhendé était en fait curé d'une paroisse de la région.
Le motif du vol était le meurtre... la carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.
Le mur avançait à grand pas vers le véhicule...
Le pendu est mort noyé.
Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher...
Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom.
Le suspect s’est alors décidé à passer aux aveux sans même qu’on ait à le frapper.
Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts...
Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée.
Les chaussures de l'accidenté étaient aussi bien habillées que lui.
Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.
Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
Les trois balles étaient groupées dans l'oeil gauche qui semblait ne plus rien voir...
L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...
L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.
L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
L'homme n'avait rien voulu nous avouer, si ce n'est deux ou trois petits crimes sans importance.
L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrête... Le suspect s'est alors décide a passer des aveux complets pour nous prouver qu'il était pour rien dans cette affaire.
L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.
L'homme s'était donc noyé par pendaison...
L'homme s'était terré comme un vulgaire lapin...
L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière.
L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu.
Malgré ses 4 frères et soeurs, le jeune homme était fils unique.
Malgré un taux d'alcoolémie de 3.8, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.
N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.
N'ayant pas pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.
N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.
Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.
Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide...
Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.
Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean Pierre Pelprat.
Pour finir, l’interpelé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.
Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer...
Quand le contrevenant a crie: "Espèce de gros con!" dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.
Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant...
Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques...
Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.
Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.
Si nos gendarmes n’étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu...
S'il avait encore eu sa tête, il n'aurait eu aucun mal à décliner son identité.
S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.
Son crâne défoncé parlait pour elle...
Soudain, la voiture recula pour mieux avancer...
Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.
Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant...
Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toit.
Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.
Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.